Histoire d'étoile(s)

    Et des étoiles, on en a eu, à tous les sens du terme. Ayant rendez-vous sur une péniche nommée "Le Sirius" - chouette bar si vous trainez du côté de Lyon - on aurait pu, et même, on aurait du s'y attendre.

    Alfi arrivé, un quart d'heure en retard, mais néanmoins bien avant que quelques savoyardes de ma connaissance, nous commandâmes. 17h, premier panaché, première dose d'alcool de ma soirée. Et là, tout s'accélère  avec la venue de mon vieux pote - le gratteux inaccessible, pour ceux qui suivent. Beaucoup de rires, et une belle honte pour ma part au moment d'aller chercher mon invitation: le gars qui les gérait était celui là même, qui, vingt minutes plus tôt, m'avait abordé dans la rue et à qui j'avais fichu le 'vent' du siècle.

    Des étoiles, on en a vu quatre - ou plutôt, cinq, puisqu'il existe un cinquième mousquetaire. Tous détendus, tous naturels, au milieu d'une quasi-centaine de groupies assoiffées de bises et d'autographes. Et des étoiles, on en avait plein les mirettes en écoutant les nouvelles chansons. Bon, certes, je les connaissais déjà. Mais le plaisir reste le même.

    Et puis, les étoiles nous ont surveillés du haut du ciel - huhu, que c'est romantiiique - pendant notre pèlerinage jusqu'à Bellecourt, à la recherche d'un restau ouvert à 22h, un mojito et une blanche plus tard. Et, au retour, ces mêmes étoiles nous ont éclairés, lorsque, légèrement détendus, et toujours guillerets, nous avons voltigé sur des jeux pour enfants. Lyon est chouettement équipé, soit dit en passant. Très bonne soirée, au final.

    Comme dirait l'autre, Bye bye et à la prochaine, amigos!